PHILOSOPHIE DES QUATRES ELEMENTS
En philosophie, une théorie du tout est une explication ultime, universellement englobante de toute la nature ou la réalité. Empruntant le terme à la physique, où la recherche d'une théorie du tout est en cours, les philosophes ont discuté de la viabilité du concept et analysé ses propriétés et implications.
Sur la planète terre on retrouve ensemble le souffle la lumière et l'eau: c'est la philosphie des quatres élements.
Cette philosophie est un essai à une théorie du tout philosphique.
PHOTOSYNTHESE
CO2 + H2O + Y = 02 + pomme
le CO2 (souffle) l'eau et la lumière crée la vie: à respirer (O2) et à manger (pomme).
On consomme la vie : on mange(pomme), on boit l'eau et on respire O2.
On va redegager de la lumière(37°C) et du CO2 et H2O(Krebs)
CLIMAT
La météo c'est:
est-ce qu'il fait beau?
est-ce qu'il pleut?
est-ce et qu'il y a du vent?
LE VENT
Comment se forme le vent?
La lumière évapore l'eau.
L'air chaud et humide monte et l'air froid et sec descend.
La lumière et l'eau engendre le vent.
Le vent c'est le souffle dans la nature.
ENERGIE RENOUVELABLE
Comment l'énergie est-elle renouvelé?
Avec les panneaux solaires (lumière)
Les éoliennes (souffle)
Les barrages hydro-électrique (eau+gravity)
(On peut rajouter la chaleur de terre et les marées (Gravity))
EAU CHAUDE
L'énergie nucléaire utilise le même principe qu'un train à vapeur: Chauffe de l'eau pour creer un souffle (lumière eau souffle)
Le charbon la même ça dégoute plus. caca charbon
BATIMENTS
Votre foyer(feu) vous protège des éléments à l'exterieure.
Vous les avez à l'interieure: chauffage et lumière, l'eau courante et la fenêtre pour aérer
VACANCES
-Du soleil au bords de l'eau avec une petite brise pour souffler.
-A la montagne, attention au coup de soleil, la neige, respirer du bonne air.
-Fiesta: jeu de lumière, boissons, musique
MOTEUR
le moteur thermique se refroidi avec l'eau (liquide de refroidisement) et le radiateur devant prend l'air.
La combustion est la lumière, le souffle pousse le piston et de la vapeur d'eau est dégagé.
PAIN
pourquoi le pain sèche?
pour ne pas qu'il perd l'eau, le mettre dans un sachet au placard à l'abris de l'air et de la lumière
BUEE
mettre la ventilation pour secher le part brise pour y voir claire.
faire de la buée avec son souffle, car il est chaud et humide.
ENVIRONNEMENT INTERNE
BESOIN PRIMAIRES
Manger boire respirer
souffle=repos+sécurité+réproduction?
CONSTANTES VITALES
Les constantes vitales:
- la saturation en O2 (souffle)
- la température (lumière)
- l'hydratation (hydro-sodée)
Pression artérielle et fréquence cardiaque
SOUFFLE LUMIERE EAU CORPORELLE
Les quatres élements constitue notre energie
- le souffle (AIR)
- les minéraux (EAU)
- les calories (FEU)
- le poids (TERRE) : Gravity
Exemple de souffle lumière et eau dans le corps
Sport : donne chaud (lumière), transpiration (eau salé), essoufflement
Malade : fièvre, sueurs froide, toux (souffle malade)
Faire de la buée : souffle de l’air chaud et humide
Reproduction c’est chaud et humide et donne du souffle (jouir/pets vaginaux)
Respirer (et dormir), boire, manger
Douleur : lumière (inflammation) eau (anti-inflammatoire si eau en mouvement=flux) souffle coupé (Haaayyyy !)
LE PLUS GRAND DEFIS DE L'HUMANITE: LE SOUFFLE (être et non avoir)
Face à la sixième extinction de masse, Gravity Therapy est une lueure d'espoire.
Une lueur d'espoire
Ce serait utopique mais j'imagine qui si les humains comprennait LE SOUFFLE, en commençant par percevoir l'effet de leurs souffle, cette bonne dope, alors l'humanité prendrait alors LA PLEINE CONSCIENCE.
Nous somme la cause, plus précisement notre esprit consumeriste (AVOIR), soignons ou remedions cette pauvreté interieure.
Enrichisons L'ETRE (esprit) des l'humanité avec son souffle. Ce pourrait même être une EVOLUTION ULTIME de l'éspèce humaine: évolution vers la pleine conscience collective.
Etre un homme et non avoir des couilles en OR.
Synopsis
Cet ouvrage débute par un constat plus qu’alarmiste sur l’état de santé de la planète, avec un sombre pronostic pour la vie et donc pour l’humanité. Une humanité qui dans son ensemble est appelée à réagir face à l’ampleur du désastre écologique, à la fois par des mesures d’urgence, mais aussi par une profonde remise en question de la société, de ses fondements et valeurs. Cet ouvrage amène chacun à se positionner face aux questions environnementales, sociétales et politiques d’aujourd’hui, et donc de demain.
Introduction
Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité débute sur un constat alarmant et alarmiste : la Terre et, donc la vie, sont en grand danger si l’homme ne réagit pas rapidement et fortement face au réchauffement climatique démontré par de nombreux scientifiques.
Des mesures de première urgence à la refonte totale de la société actuelle et de ses valeurs, Aurélien Barrau présente sa conception de la situation actuelle, et ses idées sur les interventions nécessaires individuellement, collectivement, éthiquement, politiquement, institutionnellement et philosophiquement.
Le réchauffement climatique, une urgence planétaire
Depuis déjà quelques décennies, des scientifiques et des personnalités publiques de tous ordres alertent l’opinion publique et les autorités sur l’existence d’un changement climatique sans précédent. Aurélien Barrau considère qu’aujourd’hui le bilan actuel de la Terre est purement catastrophique. Les études scientifiques ont selon lui démontré qu’un réchauffement climatique global est en cours, provoqué par l’homme. Ce réchauffement, qui touche certaines zones géographiques plus que d’autres, survient sur une échelle de temps si courte que les écosystèmes sont incapables de s’y adapter. La situation est d’autant plus grave, que les dernières données révèlent une aggravation du phénomène, dépassant les prévisions les plus alarmistes.
Première et principale conséquence de ce réchauffement climatique, la disparition progressive de la vie sur Terre. Aurélien Barrau évoque « la sixième extinction massive de l’histoire de la Terre » (p. 16). Selon les données du GIEC (groupement d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), les disparitions d’espèces « ont été multipliées par 100 depuis le début du XXe siècle » (p. 17).
Ce changement climatique global constitue une importante source de déséquilibre, dont les conséquences attendues sont entre autres une montée du niveau des océans, une fonte de la banquise et des calottes glaciaires, un engloutissement d’îles et de zones côtières, des incendies plus fréquents et dévastateurs, des extinctions massives d’espèces, le développement de maladies graves et une progression des phénomènes météorologiques extraordinaires (tornades, cyclones, inondations, canicules…).
La cause de ce phénomène hors norme est l’action humaine, au travers de plusieurs de ses comportements : la surexploitation des ressources, l’urbanisation galopante, la déforestation à des fins agricoles, l’introduction d’espèces invasives, la pollution ou l’agriculture intensive. Si les biodiversités terrestre et marine sont les principales victimes du désastre écologique, l’être humain n’est pas épargné. En effet, beaucoup de pays dans le monde voient leur température augmenter de telle manière qu’il sera bientôt impossible d’y vivre. L’engloutissement de certaines zones côtières entraînera la création d’un nouveau statut, celui de réfugiés écologiques.
Enfin, la pollution tuerait aujourd’hui plus dans le monde que le tabac. Rien qu’en France, elle provoque chaque année près de 50 000 décès.
Des mesures d’urgence face à la catastrophe planétaire
Le constat présenté par Aurélien Barrau est à la fois catastrophique et alarmiste, précisant que la situation est proche d’un état de non-retour. Dans l’atmosphère, la concentration de CO2 (dioxyde de carbone) a atteint un niveau « sans commune mesure avec les variations naturelles observées depuis 800 000 ans » (p. 27). Il est donc impératif de prendre immédiatement et sans détour des mesures d’urgence.
L’axe principal des mesures proposées par Aurélien Barrau est la diminution qu’il juge incontournable de la consommation. Certes, une telle perspective risque de provoquer une décroissance économique et une diminution du confort de vie de nombreux êtres humains, mais la survie de la planète en dépend. La réduction de la consommation repose sur de multiples aspects, à la fois individuels et collectifs. Il est nécessaire pour Aurélien Barrau de réduire l’utilisation de l’automobile au profit des transports en commun – les voitures électriques ne seraient pas une solution sur le long terme, mais une façon détournée d’entretenir notre dépendance à la voiture –, de limiter au maximum les transports par avion ou le tourisme de masse.
Au final, toute la logique des transports de personnes et de marchandises doit être intégralement repensée. Sur le plan de l’alimentation, Aurélien Barrau opte pour une alimentation végétarienne ou végétalienne, afin de minimiser l’impact de l’homme sur l’animal. Parallèlement, il faut redonner des lieux de vie réservés exclusivement aux animaux et protéger tous les espaces qui n’ont pas encore été envahis par l’homme.
Toutes ces mesures d’urgence doivent-elles relever d’une initiative individuelle ou d’une démarche collective impulsée sous l’autorité de l’État ? Pour Aurélien Barrau, l’urgence est telle qu’il paraît nécessaire de légiférer pour contraindre les populations à prendre les mesures nécessaires pour réduire l’impact de l’homme sur l’environnement.
Sans vouloir instaurer une dictature écologique, des lois contraignantes, voire répressives, sur l’environnement sont aujourd’hui nécessaires. « Si la loi nous interdit de faire du mal à autrui, pourquoi ne pourrait-elle pas nous interdire de faire du mal à la nature ? » (p. 120). À titre d’exemple, tandis que certains pays ont décidé de totalement bannir le plastique, la France ne se limite pour l’instant qu’à supprimer les sacs plastiques et les cotons-tiges.
L’écologie ne peut pas être anti-sociale
mplicitement, le débat sur l’écologie tourne vite au débat politique. Pour Aurélien Barrau, il est essentiel de comprendre que l’écologie ne peut aller à l’encontre d’une politique volontairement sociale. « Lorsque l’écologie s’oppose au social, elle se suicide » (p. 42). La mutation écologique devrait alors obligatoirement s’accompagner d’une mutation sociale, dépassant les clivages politiques ou les stratégies économiques. Dans ce contexte, il paraît alors difficile de demeurer dans une politique de libéralisme économique tel que nous le connaissons aujourd’hui. Un nouveau schéma politico-économique doit être recherché par les hommes.
Actuellement, les richesses sont inégalement réparties entre les êtres humains, une situation que dénonce vivement Aurélien Barrau. « À l’échelle globale, quelques personnes possèdent autant que la moitié de la population mondiale. C’est insensé et intenable. Presque obscène » (p. 48). Un monde écologique doit donc également être un monde de meilleure répartition des richesses, avec une remise en question de la notion de possession.
La mise en place des mesures nécessaires face à la catastrophe écologique actuelle doit s’associer à des mesures d’accompagnement, pour que chaque membre de la société soit intégré dans la démarche. Les personnes les plus riches doivent être mises à contribution pour financer la transition écologique, à laquelle les plus modestes sont incapables de faire face. Alors qu’il faut stopper une urbanisation galopante, il faut trouver des solutions pour toutes les personnes qui restent mal logées. De même, la transition écologique pourrait signer la fin de certaines professions et les personnes concernées devront être accompagnées pour retrouver une position sociale.
Enfin, une question délicate se pose, celle de la démographie. Y a-t-il aujourd’hui trop d’humains sur Terre ? Selon les dernières estimations, la population mondiale devrait progressivement se stabiliser à l’horizon 2050. En répartissant mieux les ressources et les richesses, il paraît envisageable de maintenir une telle population. Pourtant, pour réduire l’impact de l’homme sur l’environnement, il serait souhaitable d’observer une réduction de la démographie, mais cette tendance ne peut pas se faire de manière autoritaire. Même si chacun à son échelle peut réfléchir à cette question !
Vers une évolution profonde de la présence humaine sur Terre
Prendre des mesures immédiates et concrètes face à la situation catastrophique actuelle est une urgence absolue, le pronostic de la vie sur Terre en dépend. Mais une fois ces mesures en vigueur – si tant est qu’elles soient décidées et mises en place par les pouvoirs publics –, faut-il envisager un profond remaniement de la position de l’homme sur la planète ? Aurélien Barrau présente plusieurs évolutions ou révolutions profondes qu’il considère nécessaires dans un second temps.
L’homme doit un à un redéfinir tous les liens qui l’unissent à la nature. Il revendique notamment la fin de toute exploitation animale, comme le font les véganes. Au-delà, il considère que l’homme doit cesser de penser que la Terre lui appartient de manière implicite. Dans certains pays, des droits juridiques commencent à être accordés à des rivières, à des forêts, à des terrains vierges de toute exploitation humaine. Dès lors, les droits de ces espaces peuvent être défendus, même s’ils le sont par des hommes dans le cadre de lois rédigées par des hommes.
Sur le plan des ressources, le débat écologique se limite souvent à la question du nucléaire, alors qu’il ne constitue qu’un aspect parmi tant d’autres. Pour Aurélien Barrau, la question de la fin du nucléaire doit être posée, mais elle est complexe et demande un certain temps de réflexion. Une sortie trop rapide et à tout prix de l’énergie nucléaire risque de provoquer un retour vers des énergies fossiles, beaucoup plus polluantes. Il est indispensable d’envisager de nouvelles solutions à court, moyen et long termes, et surtout de s’assurer qu’elles soient viables.
En redéfinissant la place de l’homme sur Terre, une seconde question essentielle surgit, les valeurs fondamentales des sociétés modernes. Sans créer de nouveaux concepts philosophiques, la transition écologique implique de redonner une place centrale et primordiale à la vie. Pour la préserver, il faut tout repenser, la croissance, l’économie, le travail… et revenir aux choses essentielles de l’existence. Autrement dit, renouer les liens distendus entre l’homme et son environnement. Une telle perspective peut également entraîner une profonde refonte de la société et de ses valeurs fondamentales, mais aussi des systèmes politiques en place.
Une occasion unique de redéfinir la société
Depuis quelques mois, un peu partout dans le monde, des lycéens et des étudiants se mobilisent pour demander aux pouvoirs publics de réagir face à la catastrophe écologique annoncée. Il n’est plus l’heure de se rejeter la faute, de désigner des coupables ou de rechercher des causes, il est plus qu’urgent d’agir, et le monde politique se doit d’être un exemple en la matière. « La nature ne relève pas d’un ministère : elle est le nom de notre monde ». (p. 67).
Au-delà des systèmes politiques, la transition écologique doit changer d’image. De contrainte, elle doit devenir une chance. Une chance unique pour chaque être humain de redéfinir le monde dans lequel nous vivons et les valeurs sociétales que nous véhiculons. Le rapport à l’autre, et en particulier le rapport à l’étranger, est, pour Aurélien Barrau, un exemple emblématique. Alors que l’Europe peine à accueillir quelques milliers de réfugiés politiques, comment sera-t-elle capable de gérer les millions de réfugiés climatiques de demain ? Il est temps de redéfinir de nouvelles valeurs pour recréer une société et un monde totalement nouveau, à l’occasion de la transition écologique. Ce monde pourrait être construit sur des valeurs essentielles de partage, entre les hommes, mais aussi entre les hommes et les autres êtres vivants.
Dans un environnement totalement recréé, certains comportements favorables à la nature et à la vie seraient largement valorisés. La transmission devient alors un élément clé pour réussir à imposer des comportements respectueux. Il est essentiel que les futures générations bénéficient très tôt d’une formation à l’écologie. Il s’agit en un sens d’abandonner un monde basé sur l’économie et la croissance, pour construire un nouveau monde basé sur le partage et l’harmonie avec la nature. Comme certains évoquent notre manière d’être à la vie, il faut totalement imaginer notre être à la terre. « Si le génie humain existe, c’est ici et maintenant qu’il doit se manifester » (p. 141).
Conclusion
Face à l’urgence de la situation, Aurélien Barrau énonce quelques mesures d’urgence qu’il estime nécessaires au point que les pouvoirs publics devraient légiférer pour les rendre obligatoires. Au-delà de cette urgence avec laquelle l’humanité doit réagir, le réchauffement climatique est présenté comme une occasion unique de redéfinir les contours de la place de l’homme sur Terre et du rapport entre les hommes dans nos sociétés modernes.
Cet ouvrage n’aborde pas que des aspects purement environnementaux, mais aussi des aspects sociaux, politiques, économiques, éthiques et parfois philosophiques, qui viennent entretenir le débat au combien actuel autour de la question du réchauffement climatique.
Zone critique
Si un sujet dans le monde suscite bel et bien le débat depuis quelques années, c’est justement le réchauffement climatique. Malgré les nombreuses preuves scientifiques apportées par les membres du GIEC, certains réfutent encore l’idée que la Terre se réchauffe, que cette situation est liée aux activités humaines, et qu’elle a des conséquences potentiellement désastreuses, voire irréversibles, sur la Terre, l’humanité et la biodiversité. Au-delà, les mesures à entreprendre immédiatement et sur le moyen et long terme sont également source de profondes divisions.
Aurélien Barrau est partisan d’une nécessaire décroissance, tandis que de nombreux experts et politiques plébiscitent une croissance verte. De même, la vision politique et parfois philosophique de l’écologie présentée dans l’ouvrage ne fait pas l’unanimité, beaucoup dissociant encore l’écologie de la politique et l’écologie des valeurs sociétales. L’écologie implique-t-elle obligatoirement de nouveaux schémas politico-économiques ? L’écologie passe-t-elle nécessairement par une refonte des valeurs humaines ? Des questions abordées par Aurélien Barrau et qui n’ont pas à ce jour de réponse universelle.
LYFE ASTROBIOLOGIE
LYFE: THERMODYNAMIQUE DE LA VIE
RESUME
Motivés par la nécessité de brosser un tableau plus général de ce qu'est – et pourrait être – la vie par rapport au reste des phénomènes de l'univers, nous proposons un nouveau vocabulaire pour la recherche astrobiologique. Lyfe est défini comme tout système qui remplit les quatre processus de l'état de vie, à savoir :
- la dissipation
- l'autocatalyse
- l'homéostasie
- l'apprentissage.
La vie est définie comme l'instance de vie que nous connaissons sur Terre, celle qui utilise une boîte à outils moléculaire organométallique spécifique pour enregistrer des informations sur son environnement et obtenir un ordre dynamique en dissipant certains déséquilibres planétaires. Ce nouveau système de classification permet à la communauté astrobiologique de définir plus clairement les questions qui propulsent leurs recherches, par exemple, s'ils développent un récit historique pour expliquer l'origine de la vie (sur Terre), ou un récit universel pour l'émergence de la vie, ou s'ils recherchent des signes de vie en particulier, ou la vie en général à travers l'univers. Bien que le concept de « la vie telle que nous ne la connaissons pas » ne soit pas nouveau, les quatre piliers de la vie offrent une nouvelle perspective sur l'état de vie qui est indifférente aux composants particuliers qui pourraient le produire.
Mots clés:
définition de la vie ; origine de la vie ; astrobiologie ; mécanotrophe
LYFE: VYE
La définition de la vie
Nous cherchons à recadrer la définition de la vie d'une manière plus large tout en reconnaissant la nécessité de signifier le type spécifique de vie que les formes terrestres représentent. Ainsi, nous avons trouvé un nouveau terme - lyfe. Désormais, nous nous référerons à la vie (telle que nous la connaissons) et à la vie (telle qu'elle pourrait être, au sens le plus général). Les deux appellations se distinguent comme suit :
- La vie représente la vie telle que nous la connaissons ; elle utilise les déséquilibres spécifiques et les classes de composantes de la vie terrestre. La vie est un réseau autocatalytique de produits chimiques organométalliques en solution aqueuse qui enregistre et traite les informations sur son environnement sous forme moléculaire et réalise un ordre dynamique en dissipant tout sous-ensemble des déséquilibres suivants : gradients redox, gradients chimiosmotiques, photons visibles/thermiques, etc.
- Lyfe représente tout phénomène hypothétique dans l'univers qui accomplit les processus fondamentaux de l'état vivant, quels que soient les déséquilibres ou les composants qu'il exploite ou utilise. Lyfe est tout phénomène hypothétique qui maintient un état de faible entropie via des conversions de dissipation et de déséquilibres, utilise des réseaux autocatalytiques pour obtenir une croissance et une prolifération non linéaires, utilise des mécanismes de régulation homéostatiques pour maintenir la stabilité et atténuer les perturbations externes, et acquiert et traite des informations fonctionnelles sur son environnement.
Le concept de « la vie telle que nous ne la connaissons pas » n'est pas nouveau. Cependant, les définitions traditionnelles de la vie ont du mal à délimiter clairement les frontières entre "la vie telle que nous la connaissons" et "la vie telle que nous ne la connaissons pas". En outre, de nombreuses définitions traditionnelles sont tout aussi floues quant au moment où « la vie telle que nous ne la connaissons pas » devient suffisamment éloignée de « la vie telle que nous la connaissons » pour qu'elle ne soit plus considérée comme la vie. Par exemple, selon la définition de la vie de la NASA ( Section 1 ), un système chimique auto-entretenu qui évolue de manière non darwinienne devrait-il être considéré comme "la vie telle que nous ne la connaissons pas" ou pas vivant du tout ?
Pour y remédier, nous avons développé nos critères de vie basés sur quatre processus fondamentaux. Nous sommes d'accord avec le sentiment général de [ 26 ] que "la vie est un verbe, pas un nom", une remarque basée sur l'idée que la vie fonctionne en dissipant les gradients redox planétaires, en faisant la navette entre les électrons et en transduisant ce déséquilibre dans d'autres configurations dynamiques [ 27 ] . Alors que la dissipation de l'énergie libre est certainement le premier aspect nécessaire de la vie, nous soutenons qu'elle doit s'accompagner de trois autres processus - l'autocatalyse, l'homéostasie et l'apprentissage - pour former une description suffisante de l'état vivant.
En d'autres termes, nous définissons la vie comme tout système physique qui présente les quatre processus décrits ci-dessous. (De plus, la vie remplit chacun d'eux via les mécanismes spécifiques décrits en italique.)
QUATRE PILLIERS
- Dissipation Lyfe ne peut pas exister à l'équilibre. La deuxième loi de la thermodynamique, en présence de mécanismes de transduction d'énergie libre, permet le couplage de processus exergoniques aux configurations endergoniques organisées de la vie.
À l'aide d'un réseau de machines moléculaires à l'échelle nanométrique, la vie dissipe les déséquilibres chimiques externes et/ou convertit les photons à faible entropie en chaleur résiduelle à haute entropie, transformant ces déséquilibres en d'autres déséquilibres (par exemple, la formation endergonique de gradients de protons et de haute[ UN TP] / [ A D P]). Pour effectuer un travail utile, la vie se transformeun tP→ A D P+Pje, qui dissipe le[ UN TP] / [ A D P]déséquilibre [ 28 , 29 ].
- Autocatalyse- La capacité d'un système à afficher une croissance exponentielle de mesures représentatives de la taille ou de la population dans des conditions idéales. La propriété d'autocatalyse peut apparaître sous différentes formes - y compris l'autocatalyse, la catalyse croisée et l'autocatalyse en réseau - tant que l'effet conduit à une croissance exponentielle d'une métrique appropriée dans des conditions idéales.
Un système cultivé de micro-organismes présente une croissance de population autocatalytique due à la réplication cellulaire dans des conditions riches en ressources.
- Homéostasie—La capacité d'un système à maintenir des variables internes clés dans des plages de points de consigne idéaux. Dans un monde dynamique de perturbations, couplé à la croissance exponentielle décrite ci-dessus, un système vivant doit avoir des moyens pour limiter la variation de ses systèmes internes lorsque les conditions externes changent.
La vie effectue l'homéostasie avec des réseaux de capteurs, de récepteurs et d'effecteurs. La substance sous régulation homéostatique (par exemple, les ions calcium) se lie généralement aux récepteurs et favorise la libération d'autres substances (par exemple, les hormones). Ces composés indicateurs stimulent ensuite un mécanisme de réponse approprié pour ramener le niveau de substance dans la fenêtre souhaitée.
- Apprentissage— La capacité d'un système à enregistrer des informations sur son environnement externe et interne, à traiter ces informations et à effectuer des actions qui ont un effet positif sur sa probabilité de survie/de prolifération.
L'évolution darwinienne est un processus d'apprentissage biologique couramment cité (par exemple, [ 30 , 31 , 32 ]) parmi un ensemble beaucoup plus large de processus d'apprentissage que les systèmes vivants effectuent. Par exemple, il existe des exemples largement étudiés d'apprentissage biologique dans le domaine des neurosciences, permis par une gamme d'interactions neuronales et synaptiques (par exemple, [ 33 , 34 , 35 ]). En outre, il existe une liste croissante de systèmes d'apprentissage non neuronaux, y compris les réseaux de régulation des gènes [ 36 , 37 , 38 ], les réseaux d'interaction protéique [ 39 , 40 ] et d'autres mécanismes épigénétiques (par exemple, [ 41, 42 ]). De nombreux exemples relèvent du cadre général de l'apprentissage associatif, qui a été présenté par des organismes non neuronaux tels que les moisissures visqueuses [ 43 , 44 ]. Le darwinisme se mêle à ces autres processus d'apprentissage (et peut-être à d'autres formes jusqu'ici inconnues) pour créer l'incroyable diversité et complexité de la biosphère. Par conséquent, «l'apprentissage» est un terme générique pour cet ensemble de processus vaste et incomplètement compris.
Alors que ces quatre piliers de la vie sont dérivés d'observations de la vie telle que nous la connaissons (après tout, la vie doit être un sous-ensemble de la vie), cette nouvelle définition est beaucoup plus large. Les quatre piliers constituent des exigences nécessaires et suffisantes de l'état de vie tout en restant dissociés des composantes spécifiques qui composent le système. Ceci est illustré par le fait qu'il existe de nombreux systèmes qui exécutent les mêmes piliers mais sont assez distincts dans la forme (comme cela sera discuté dans la section 2.1). Par conséquent, l'universalité du terme « lyfe » découle de l'attente raisonnable qu'il peut être appliqué à des systèmes encore non découverts (ou non inventés) qui existent à une myriade d'échelles à travers l'univers. Il peut même y avoir une classe de systèmes, encore non découverts et non décrits, qui exécutent les quatre piliers de la vie ainsi qu'un cinquième pilier. De tels systèmes pourraient être considérés comme super-lyfe. Alors que la découverte de la super-vie serait certainement un changement de paradigme, nous restons pour l'instant agnostiques quant à son existence.
ALBERT EINSTEIN
Si l’idée n’est pas a priori absurde alors elle est sans espoir (Albert Einstein)
Mon idée absurde est que l’on pourrait peut-être soigner la folie humaine (mauvais état esprit humain, le consumérisme) avec Gravity Therapy pour éviter la collapsologie.
Je ne vois pas d’autres solutions pour changer les gens. Gratuitement.
L’humanité a besoin de faire de la cohérence cardiaque pour prendre PLEINE CONSCIENCE du plus grand défi de l’humanité.
C’est Con mais il faut que quelqu’un t’appuis dessus pour que ça marche pour que ça souffle mieux, pour arriver à la pleine conscience, c’est drôle pleine conscience parceque c’est a se moment là où tu penses a rien absoulument rien d’autre que toi-même
ça s’appel tout bêtement Gravity Therapy
Pour que la Terre Happy
On ne peut pas résoudre un problème avec le même mode de pensée que celui qui a généré le problème (ALBERT EINSTEIN)
Ce n’est pas en pensant « ARGENT » qu’on va résoudre l’urgence climatique.
C’est l’argent qui détruit le monde est indirectement. Quoique l’on achète (sauf exceptions/circuit court) à de l’énergie grise derrière (esclave énergétiques)
Ce n’est donc pas avec l’argent que l’on peut résoudre le plus grand défi de l’humanité, puisque l’argent le génère.
Résultats de chaque « Réunion de crise climatique » c’est combien de millions on va mettre dans l’écologie.
Je ne crois pas que l’argent soit la solution c’est le problème.
Qu’elle est la seule chose gratuite ? L’air naturelle à respirer (sauf de l’air chaud (chauffage) et de l’air frais(climatisation))
La folie, c'est de faire toujours la même chose et de s'attendre à un résultat différent (Albert Einstein) pour plus de clarté
Il faut remplacer nos esclaves énergétiques par notre propre souffle (notre énergie physique, notre volonté, il faut changer d’état d’esprit). Remonter dans le temps ! Revenir à l’ancienne la proximité et pas la mondialisation.
Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui le regardent sans rien faire. (Albert Einstein)
Et il faut absolument ne pas perdre espoir, garder le souffle, de l’énergie pour changer de mode de pensée/vie.
Deux choses sont infinies : l'Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l'Univers, je n'en ai pas encore acquis la certitude absolue. (Albert Einstein)
Je ne suis pas en train de dire « on souffle un coup et c’est bon ».
Non je crois que la philosophie du souffle, la lumière et l’eau (théorie) et Gravity Therapy (pratique) peuvent faire prendre pleine conscience à un grand nombre de personnes.
Si cette théorie et cette pratique sont bien transmises.
Il faut qu’on se rende compte de ce que l’on est (de l’eau chaude qui brasse de l’air) et de la bêtise que l’on est en train de faire, tout cramer (thermo-industrie)!
Je sais qu’il faut encore développer ces idées. J’ai besoin de critique constructive.
Si vous ne pouvez expliquer un concept à un enfant de six ans, c'est que vous ne le comprenez pas complètement (Albert Einstein)
Gravity Therapy est gratuit, universelle, tellement simple qu’un enfant de six ans peut le faire
Aujourd’hui commencent l’enfer climatique et géopolitique pendant que les milliardaires se croient dans le paradis fiscal.
Mais le paradis c’est ici sur terre c’est quand tu as à manger et à boire et que t’es tranquille, que tu peux souffler/reposer et rigoler.
C’est aussi les petits coins de paradis style de l’eau du beau temps des amies qui donnent du bon souffle. Il y en plein en France des petits coins de paradis.
Après la vie il y a encore la vie, la vie est un don, les parents la donne à leurs enfants.
Putain on envoi nos gosses en enfer, c’est le but de la vie, transmettre la vie paisiblement (paix)
La seule chose absolue dans un monde comme le nôtre, c'est l'humour ! (Albert Einstein)
Je pense que nous sommes de l’eau chaude qui brasse de l’air ! (Vision péjorative)
Et en plus on fait de la merde
Qu’elle est la seule chose d’utile à faire pour la terre, la planète bleue, pour un humain ?
Ne pas la détruire déjà (un peu tard) mais surtout redonner les résidus de la pomme (les selles) à la terre. Mais nous on chie dans l’eau (La douce) c’est vraiment du Luxe pendant que d’autre n’ont pas accès à l’eau.
Oui on ne servirait seulement, utilement, à produire du caca pour que les pommes repoussent. Le consumérisme n’est pas utile pour la planète
Les vaches sont vachement utiles alors ? Elles font du lait qui hydrate vachement (plus que de l’eau minérale) et elles font de l’engrais (fumier) mais elles polluent vachement (méthane)
SPIRITUALITE: IGNOSTISICISME
Définissez-moi d'abord ce que vous entendez par Dieu et je vous dirai si j'y crois. (Albert Einstein)
Définir Dieu avant d'y croire ou non: Ignosticisme
Le plus important:
Croire en soi, en son énergie, en son potentiel/capacité mais aussi en ces limites. en e que l'on ressent. Croire en son souffle pour ne pas avoir besoin d'y penser.
Croire ce que l'on voit: s'il n'y a pas de lumière on n'y voit rien!
Croire que l'eau c'est la vie. Une certitude.
La lumière créer la vie avec l'eau (Photosynthèse)
C'est Dieu et sa femme!
Fondamentalement différent des réligions: dieu est la seul et unique chose que l'on voit
AUCUN RAPPORT AVEC LES RELIGIONS PUISQUE DIEU NE PEUT PAS ETRE VUE. LA LUMIERE EST LA SEUL ET UNIQUE CHOSE QUE L'ON VOIT AVEC NOS YEUX.
SPIRITUALITE DU SOUFFLE LA LUMIERE ET L'EAU
Si on ne crois pas en soi difficile d'avoir une bonne volonté, croire en son souffle pour ne pas avoir besoin d'y penser!
Après avoir vu et senti Gravity Therapy vous pourrez croire en votre souffle si vous avez senti l'effet profond.
Croire en son souffle c'est croire en ce que l'on ressent, ce que l'on est, le "je" le "moi" ce que l'on fait et ce que l'on dit. La voix c'est le souffle.
Citations Albert Einstein sur DIEU
- Le mot Dieu n’est pour moi rien d’autre que l’expression et le produit des faiblesses humaines, et la Bible un recueil de légendes vénérables mais malgré tout assez primitives. Aucune interprétation, aussi subtile soit-elle, n’y changera rien (pour moi).
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Je ne peux pas imaginer un Dieu qui récompense et punit l'objet de sa création. Je ne peux pas me figurer un Dieu qui réglerait sa volonté sur l'expérience de la mienne. Je ne veux pas et je ne peux pas concevoir un être qui survivrait à la mort de son corps. Si de pareilles idées se développent en un esprit, je le juge faible, craintif et stupidement égoïste.
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Je ne crois pas en un Dieu personnel et je ne l'ai jamais nié, mais exprimé clairement. Si quelque chose en moi peut être appelé religieux, c'est l'admiration sans bornes pour la structure du monde pour autant que la science peut nous en révéler.
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Je veux connaître les pensées de Dieu ; tout le reste n'est que détail.
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Ce qui m'intéresse vraiment c'est de savoir si Dieu avait un quelconque choix en créant le monde.
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L'escalier de la science est l'échelle de Jacob, il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu.
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Dieu m'a puni de mon mépris des maîtres à penser en me faisant l'un des leurs.
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Nous devons faire attention de ne pas faire de l'intellect notre dieu ; il a, bien sûr, des muscles puissants, mais pas de personnalité. Il ne peut pas commander; seulement servir.
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Le hasard, c'est Dieu qui se promène incognito.
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Les coïncidences sont une manière pour Dieu de rester anonyme.
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Dieu ne joue pas aux dés.
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Pour moi la religion juive est, comme toutes les autres religions, l’incarnation d’une superstition primitive. Et le peuple juif auquel j’appartiens fièrement, et dont je me sens profondément ancré à la mentalité, n’a pas pour autant une forme de dignité différente des autres peuples.
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Croire en Dieu est un superstition enfantine.
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La science sans la religion est boiteuse, la religion sans la science est aveugle
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Dieu est subtil, mais il n'est pas malveillant.
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La valeur morale ne peut pas être remplacée par la valeur intelligence et j'ajouterai : Dieu merci !
Je ne sais pas comment la Troisième Guerre Mondiale sera menée, mais je sais comment le sera la quatrième: avec des bâtons et des pierres
- Existe-t-il un moyen d'affranchir les hommes de la menace de la guerre ? D'une façon assez générale, on s'entend aujourd'hui à reconnaître que les progrès de la technique ont rendu pareille question proprement vitale pour l'humanité civilisée, et cependant les ardents efforts consacrés à la solution de ce problème ont jusqu'ici échoué dans d'effrayantes proportions.
- L'homme a en lui un besoin de haine et de destruction. En temps ordinaire, cette disposition existe à l'état latent et ne se manifeste qu'en période anormale ; mais elle peut être éveillée avec une certaine facilité et dégénérer en psychose collective.
Le sort de l'humanité en général sera celui qu'elle méritera. (Albert Einstein)
Dieu est en colère = réchauffement climatique
La douce est triste (elle boude) = sécheresse
Le souffle s’énerve = tempête
La seule chose absolue dans un monde comme le nôtre, c'est l'humour ! (Albert Einstein)
Je pense que nous sommes de l’eau chaude qui brasse de l’air ! (Vision péjorative)
Et en plus on fait de la merde
Qu’elle est la seule chose d’utile à faire pour la terre, la planète bleue, pour un humain ?
Ne pas la détruire déjà (un peu tard) mais surtout redonner les résidus de la pomme (les selles) à la terre. Mais nous on chie dans l’eau (La douce) c’est vraiment du Luxe pendant que d’autre n’ont pas accès à l’eau.
Oui on ne servirait seulement, utilement, à produire du caca pour que les pommes repoussent. Le consumérisme n’est pas utile pour la planète
Les vaches sont vachement utiles alors ? Elles font du lait qui hydrate vachement (plus que de l’eau minérale) et elles font de l’engrais (fumier) mais elles polluent vachement (méthane)
Le sol accélère vers le haut : la pomme de Newton ne tombe pas !
passioné de relativité
Un passionné de Relativité et d’Albert einstein.
Albert Einstein dormait jusqu'à 10 heures par jour et ses siestes étaient régulières durant la journée. D'ailleurs il les faisait avec une cuillère de métal dans la main qui tombait sur un bol s'il venait à s'endormir. Ces temps de repos servaient à deux choses: se reposer et rêver.
Le souffle donne ensuite l'inspiration (Thomas)
C’est lui qui comprit la Gravity (relativité générale 1915), la gravitation n'est pas une force c'est la courbure de l’espace-temps. La relativité restreint (1905) défini l’espace-temps avec la lumière.
DESTIN OU LIBRE ARBITRE
CROIRE EN SON SOUFFLE EST UNE EVOLUTION
SI L HUMANITE ENTIERE CROIT EN SON SOUFFLE CE SERAIT UNE EVOLUTION ULTIME QUI REPOND FAVORABLEMENT AU PLUS GRAND DEFIS DE L HUMANITE
HUMOUR
La seule chose absolue dans un monde comme le nôtre, c'est l'humour ! (Albert Einstein)
La gravité n'est pas responsable des gens qui tombent amoureux
La gravité est responsable des gens qui se monte en l'air.
La gravité devrait un peu mieux aider à mettre bas.
Etre un homme et non avoir des couilles en OR.
Etre AVOIR
humour
J'ai pas mes règle j'ai une règle le souffle
pas de bras pas de chocolat pas de jambe pas de souffle
Partez dans le cosmos pour pas un rond!
Pour avoir un bon souffle on a besoin d'être à deux: en couple
expressions
les expressions
baiser au vent: baiser soufflé, bisou volant
pas le temps souffler
à bout de souffle
couper le souffle
woaw
heinnn!
pffff
poids sur les épaules
peu plus
ça me gonfle
lueure espoire
bon vent
nouveau souffle
terre à terre/remettre pied sur terre
l'eau sous les ponts
coule de source
bol d'aire/ prendre l'air
LIBRE COMME L'AIR!
BON VENT!
SE SENTIR BIEN!
PORTEZ VOUS BIEN!
NOUVEAU SOUFFLE!
BON BOL D'AIR
TERRE A TERRE
ENTRETENIR SA "FLAME"!
PAS LE TEMPS DE SOUFFLER?
A BOUT DE SOUFLE?
RALER?
TROP PARLER?
GARDER LE SILENCE?
il est gonflé lui
je ne vais pas me dégonfler